Celle d’un syndrome alvéolaire isolé en coupes longitudinales : aspect échographique d’une pneumopathie de la base droite.
Notez :
- la disparition de la surface aéro-pulmonaire (1)
- l’alvéologramme liquidien (ou hydrique) juste en arrière (2)
- les limites irrégulières en marches d’escalier de cette alvéologramme liquidien, soulignées par les bronchogrammes aériques et leurs trops belles images postérieures (flèche noire)
- un angle de raccordement à la surface pulmonaire à angle droit (il existe au moins un angle de raccordement à angle droit dans le syndrome alvéolaire, parfois deux comme sur l’image de gauche)
Sur cette courte séquence vidéo, vous noterez le signe du glissement du syndrome alvéolaire (le tissu pulmonaire pathologique se déplace) : cliquez ici
Coupe intercostale d’un syndrome alvéolaire constitué avec un alvéologramme hydrique particulièrement marqué, avec un bronchogramme hydrique très peu visible
1 : Alvéologramme hydrique
2 : Limites irrégulières “ en marche d’escalier ”, faites de bronchogrammes aériques soulignant l’alvéologramme hydrique
Cliquez sur l’image pour la voir en pleine page.
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La trop belle image postérieure du syndrome alvéolaire. Coupe longitudinale (zoomée à droite). L’inscription des impuretés des cônes d’ombre aériques apparaît plus marquée et à une grande profondeur qu’habituellement. Il s’agit du signe le plus précoce d’un syndrome alvéolaire.